Quand Suffren suspenda une vache au mât de son voilier…
de son nom complet Pierre André de Suffren, vice-amiral français, bailli, commandeur de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
il apprend le breton, l’anglais et l’italien et porte les surnoms suivants : le bailli de Suffren, Suffren de Saint-Tropez, l’amiral Satan, et dans un contexte moins glorieux, le gros calfat (à cause de sa physionomie et caractère mais que le récit contredit qui affirme que « Malgré son obésité prodigieuse, Suffren déployait l’ardeur fougueuse de la jeunesse; il était partout où l’on travaillait ».), …
Suffren possédait, selon l’amiral King, : « l’art de tirer le meilleur parti des moyens disponibles accompagné d’un instinct de l’offensive et de la volonté de la mener à bien » Que confirme la manœuvre exceptionnelle, lue dans son livre de Charles Cunat, « Le bailli de Suffren, sa vie et ses voyages, éditions la Découverte »
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